L'Image, cela séduit

L'Image, cela séduit

L’instant de la fiction, c'était autan vrai.

Cette couleur, cet’image, meilleur que le propre voir, obscurci par le soleil, par la pluie, par quelque nuage.

Plus grand que le voir, plus des pixels que la propre vision optique des eyeux.

Le temp est fragmenté dans les principales instants, les autres, n’ont pas d’importance, car habituellement ces cent vingt minutes racontés pour tout les evenements.

Comme si tout avait commencé dès cet’instant, il semble qu’il a une fois existé. Les erreurs, reponse coherente. Actitudes et actions qui dechaineront l'action suivante.

L'amour. Intense, vrai, en plus des legitimes intensions amoureuses. Parfait, pure, pas convencionel, pas previsible.

La dificulté, la disparité, faite et ordonné. Comme des personnes dicotomiques: le correcte et l'incorrecte.

Une reponse finale, une conclusión, quelque chose a apprendre.

Equilibre pour l'emotion. La façon de s’approcher de l'image, des paysages. Les closes, la velocité, seulement l'essentiel, seulement le resultat du meilleur, le plus intense.

La reaction du corps et du coeur a l'image, au moment, aux couleurs, aux meilleurs instants. Vrai. Absolument vif, vécu!

Cousin et colaborateur: M.H.R.

Imagem: Jackson Pollock, Blue Poles, 1952.